
Téo a décidé de rejoindre le paradis des anges vendredi 19 juin au matin…
Une année à lutter contre cette putain de maladie qui ne l’aura pas laisser tranquille. Mais il a su profiter de chaque instant comme s’il savait qu’il fallait qu’il profite intensément. Comme s’il savait des choses que nous, on ne savait pas.
Evidemment, on est très triste. Parce qu’il n’est plus là et qu’il va nous manquer. Parce qu’on aurait aimer le voir grandir. Parce qu’on aurait aimer le voir guérir.
J’ai reçu beaucoup de messages de soutien et Pierre (il se reconnaîtra) m’a dit ceci: « Quand un enfant part jeune il est dit qu’il a, ici ou dans une autre vie, déjà accomplit ce qu’il lui restait à faire. Il est libéré de sa condition, il est bien mieux là ou il est. Alors on dit que nous, ceux qui restons, nous devons le pleurer mais qu’après un certains temps il ne faut plus le retenir et qu’il faut le laisser partir. » Et ça m’a apaisé. J’ai voulu le croire.